Eh oui !
L'histoire totalement effrayante d'un homme qui a affronté un stylo quand il était petit. Malheureusement, bien qu'il ait survécu à notre grand désespoir, il a également décidé d'écrire.
Que ce soit pour traiter de philosophie, de jolies femmes, de récits farfelus, ou simplement pour dire des conneries, sa plume (bien qu'il ne soit pas un oiseau) sera mis à rude contribution.
Tout ceci dans un ballet explosif et subversif de lettres, de mots, et de phrases mélangés pour donner un cocktail psychédélique mais néanmoins épique.

samedi 19 février 2011

Black Sunday

Mes amis, comme je suis heureux de vous revoir !

Sincèrement, j'étais à deux petits doigts boudinés de penser que je ne vous reverrais jamais. En effet, j'ai dû me battre contre ma mémoire défaillante pendant une chanson de Gojira en entier (Adoration For None, pour les plus curieux. Pas la meilleure, mais bon...) pour retrouver mon mot de passe.
Cela, ajouté à l'inébranlable habilité du Net à me choisir les séquences les plus ardues de mots bizarres que l'on doit taper pour accéder plus loin, aurait déjà pu me forcer à me déconnecter illico, et à partir me coucher, parce que je n'ai pas que ça à faire, non plus, que diable !
Et vous non plus, n'est-ce pas ?

Alors, passée cette introduction riche en exaltations sur ma vie privée et mes déboires avec les Internet, nous en arrivons donc à la question qui vous taraude sûrement : Mais de quoi vais-je bien causer cette fois-ci ?!

Eh bien, comme je n'ai vraiment rien d'autre à faire actuellement, je vais vous expliquer comment m'est venu le nom de ce blog : "J'ai lutté contre un stylo une fois"

Alors, pour commencer, je préciserais qu'il y a deux raisons majeures à ce choix. Une raison plus ou moins personnelle. Et une autre raison, plus artistique.

La personnelle : Alors, c'est une belle histoire. Étant jeune, j'étais jeune (sans blague !), insouciant, et con. Depuis, les choses n'ont guère évolués, si ce n'est pour l'âge...
Bref, et je me souviens de cet incident comme si c'était dans deux semaines (ceux qui n'ont rien à faire là devraient faire leur devoir de philo pour cette date-là, au lieu de lire mes âneries). Je gambadais de façon immobile au milieu du tapis ornant majestueusement le salon de la maison de ma tante anglaise du côté de ma mère.
J'avais précédemment été bouleversé par une bande-annonce à la Télé du film Godzilla de Roland Emmerich (film que j'ai trouvé très sympa quand je l'ai vu, au passant), et je m'apprêtais alors à noyer mon inculture dans une émission anglaise semblable à Des Chiffres Et Des Lettres.
Croyez-le ou non, mais je m'amusais souvent à composer des mots en même temps que les candidats. Mais comme j'étais tout petit, c'était avec des mots simples pour un gosse de 5 ans, comme "Cat" ou "Table", m'voyez ?
Et c'est là que c'est arrivé, aussi vite qu'un chat après un bol de lait (ou une cordelette) !
Le stylo.
Un stylo diabolique, tout-phallique, et...quelque chose qui rime en -ique, d'une agressivité vindicative comme jamais on n'en avait constaté chez un stylo !
La bataille fut rude et intense, mais je perdit.
Depuis, rongé par la défaite, j'ai décidé d'écrire. Et le stylo, mon bourreau d'antan, allait devenir l'épée de ma verve, l'étendard de ma puissance imaginative. Et je n'ai jamais cessé de me battre dés lors...
Voilà pourquoi, en hommage à cette illustre bataille ininterrompue qui fulmine dans mes veines et dans mon esprit, j'ai décidé de nommer ce non-moins illustre (arrêtez-moi si je me trompe, hein) blog !

Bien ! La raison artistique désormais : Comme vous le savez peut-être (auquel cas, si vous l'ignoriez, vous êtes maintenant au courant), je suis un amoureux de la musique Metal.
Ça, en revanche, ça remonte à moins loin que la raison précédente, mais son importance est aussi primordiale (voire plus) que l'histoire du stylo sur le tapis anglais de ma tante.
Concrètement, je dirais que ça m'a été apporté par Final Fantasy X et son inoubliable musique Otherworld (durant la scène où Sin détruit Zanarkand, au début du jeu, pour les initiés), bien que des groupes tels que Black Sabbath ou Led Zeppelin aient déjà fait leur apparition dans le prélude de mon existence.
Et puis il y a des choses qui ont précipités mon "coming-out métalleux" comme la découvert du groupe Slipknot par mon frère il y a longtemps, avant que je n'ailles écouter sur Dailymotion (comme un gros naze) les morceaux de Rammstein.
Mais ce qui a poussé les choses encore plus loin, à mon avis, à été mon inscription sur le forum du Demon Du Rire (le site du créateur de sagas MP3 Durendal...mais je parlerais de tout cela dans un autre billet).
Alors, bien sur, au début, ça a été dur. J'étais encore assez con et insolent, et je suis bien passé pour un boulet à un moment, mais je m'y suis très vite fait, à tel point que je m'y sens vraiment bien là-bas. Plus que sur n'importe quel forum sur le Net :D (premier smiley du blog !)
Et c'est donc grâce à la culture immense de quelques piliers de ce forum (qui se reconnaîtront s'ils me lisent) que j'ai découvert les groupes fondateurs de ma culture Metal, ceux qui m'ont ouvert la voie : The CNK, Gojira, ou Marilyn Manson, en passant par Eths, Fear Factory, Sybreed, Walls Of Jericho, jusqu'à Sonic Syndicate, Arch Enemy, et bien d'autres.
Maintenant, j'ai pu m'écouter une soixantaine de groupes jusqu'ici et je n'ai vraiment pas envie de m'arrêter.
Vous ne me comprendrez peut-être pas, et je m'en fiche, mais pour moi, cette musique a symbolisé, et sublimé en moi également, une sorte de volonté de puissance qui sommeillait depuis trop longtemps. Pour les philosophes parmi vous, je parle bien sûr de la "volonté de puissance" dont parlait Nietzsche, à savoir ce désir implacable, cette essence, dans tout être à vouloir être, à devenir quelque chose d'existant...Mais je m'égare, et la philosophie à cette heure, c'est particulièrement dangereux pour mon équilibre mental.
Tout cela pour dire que si mon style littéraire est dû à cette guerre interminable entre mon esprit et le stylo, il est aussi particulièrement plus puissant maintenant dés que les accents suaves du Metal m'accompagnent dans mes écrits, comme à cette heure.
C'est donc en l'honneur d'un groupe que j'adore, et que j'ai découvert depuis peu, du nom de Iwrestledabearonce (pour les yeux délicats, c'est I wrestled a bear once en fait, ce qui veut normalement dire "J'ai lutté contre un ours une fois"), un groupe de Mathcore à voix féminine vraiment extraordinaire.

Voyez la ressemblance, hein ?
Eh bien, oui. Une belle référence, une !

Voili, voilou, mes p'tits loups. Vous vous coucherez moins bêtes, ce soir (ou ce matin plutôt) !
Allez, je commence à en avoir marre là, alors bonne nuit à vous tous et toutes !
Gros bisous baveux et à Tourte !

dimanche 13 février 2011

Du pourquoi les actrices porno gardent-elles toujours leurs chaussures durant leurs scènes...

Coucou, mes p'tits loups.

Évidemment, ça ne servirait à rien de vous saluer vu que personne ne me lit présentement.
C'est dommage, hein ?!

Bref, comme le titre de ce nouveau billet le laisse plus ou moins présager, je ne parlerais pas de mon livre (eh non !).
Mais comme je suis actuellement soumis à une législation stricte par rapport au contrôle parental et tout ça, je ne parlerai pas beaucoup des actrices de films pornographiques non plus.
Ou alors, pour mieux vous contenter, et pour mieux me sublimer, je pourrais juste vous en parler et ne pas montrer d'images peu catholiques à côté.
Bien que, étant plutôt tourné vers la spiritualité celtique, je me fiche bien de la bienséance catholique et de tout ce baratin.

Mais alors, revenons donc à cette question si importante que personne ne se l'ait déjà posé avant tellement elle était cruciale pour notre compréhension de cette civilisation post-nihilisme si peu humanisée : Pourquoi diable les actrices porno portent-elles toujours leurs chaussures pendant leurs scènes de démonstration anatomique ?

Ou, pour les philosophes munies d'un vagin : Pourquoi diablesses les acteurs porno gardent-ils leurs chaussettes (et pas des belles chaussettes, qui plus est) pendant leurs scènes ?

A question fondamentale, réponse fondamentale, n'est-ce pas ?
Eh bien, figurez-vous que non !
Dans le cadre de cette question de société, je suis allé demander des réponses à mon ami Internet (ou bien, dit-on "les Internets " ? Je ne sais plus...), sage parmi les plus sages.
Bien sur, comme vous le savez tous, "Internet is For Porn" et le porno, c'est loin d'être sage !
Pourtant, Internet le revendique, et en cela, il est plus sage que nous tous réunis !
Mais passons...Je suis donc allé surfer sur cette mer de sagesse qu'est Internet afin d'en savoir plus et de libérer mon esprit des chaines de l'ignorance.
Et devinez quoi ?
Rien. Nada. Le néant. Un abîme abyssal de rien du tout.
Au mieux, il y avait un petit topic de forum pas très sérieux (mais quels forums peuvent-donc se prétendre sérieux, hein ?), mais c'était à peine ce qu'il me fallait pour calmer ma curiosité.
C'est alors que je comprit la nature des choses : J'avais mis en lumière un tabou viscéral, aussi vieux et lointain que la musique immonde qu'écoute ma grand-mère à longueur de journée.
Et c'était horrible ! La musique de ma grand-mère également, l'était...

Et s'il y a quelque chose dans ce monde que je déteste plus que la musique qu'écoute ma grand-mère, ce sont les vilains tabous viscéraux.
Alors, je me dois, en tant que futur écrivain, en tant qu'être humain, en tant qu'humaniste profondément et très passivement engagé, et en tant que gaucher certifié, de vous mettre la réalité devant les yeux, mes chers petits loups de ville aux cœurs tendres.
Les actrices porno gardent leurs chaussures (ou pire, leurs chaussettes en plus) durant leurs scènes !!!
Bien sur, il ne faut pas amalgamer, sous peine de devenir démagogue.
Mais ouvrons les yeux et fermons la bouche.
Par ailleurs, petit conseil, si on vous le demande, n'ouvrez pas la bouche en même temps que vous fermez les yeux ! Vous risquez d'avoir de drôles de surprises...True Story.

Braif, pour en revenir, allons-nous donc trouver une réponse convenable à cette question métaphysico-existentielle sans précédent ?
Oui ! Car il y a une réponse à tout, mes amis.
Peu importe qu'elle soit vraie ou non, il y a toujours une réponse à une question car c'est le but même de toute question !
Seulement, et c'est là, toute la beauté de la philosophie : C'est que ce n'est que questionnement. il n'y a pas de réponses absolus.
Là où d'autres m'auraient répondu "Bah, c'est pour mettre en valeur leurs pieds. Vu qu'elles pensent avec...!", je me serais contenté de répondre que vous êtes de fins penseurs pour trouver un raisonnement comme celui-là.
Là où d'habiles philosophes auraient affirmé avec courage "C'est parce qu'elles se croient plus belles avec des talons-aiguilles. Déjà qu'elles sont loin d'être toutes des beautés !", je répondrais que vous n'avez pas spécialement tort, mais que vous n'avez qu'à regarder ailleurs, dans ce cas-là.

Mais tout l'intérêt de poser une question de cet ordre est de discuter des enjeux qu'elle implique avec les siens.
Aussi, non pas seulement car j'en ai marre d'écrire ce billet ridicule, mais aussi car ce billet ridicule devient ridiculement longuet.

Donc, à présent, je vous laisse le soin de réfléchir là-dessus tandis que moi, j'irai revérifier si toutes les actrices porno portent-elles toujours leurs chaussettes dans toutes les vidéos postées sur le Net.
Le souci du détail, comprenez ?

Dans tous les cas, bonne chance, bonne appétit, et à tourte.
A la revoyure, mes p'tits loups.

dimanche 6 février 2011

I wreslted a pen once...

Bien, il s'avère qu'il se fait tard alors je tenterais d'être bref.

Déjà, commençons par les présentations.
Je m'appelle Ewen Dubourg (nous parlerons de mon nom et de mon prénom plus tard, si vous le voulez), et j'ai écris un livre.
Eh ouais, tout à fait ! J'ai écrit un livre, un pavé, un bouquin, un roman, un bon gros paquet de lettres, de mots, et de phrases collées ensemble pour former des paragraphes.
Pour tout vous dire, ça a été une expérience intéressante, assez proche du sentiment/désir amoureux (avec tout ce que cela implique au niveau des joies et des souffrances, bien sur), et je serais prêt à le recommencer dés maintenant.
Seulement, malgré le fait que j'ai volé trois belles parts de pizza à mon frère ce midi, je ne suis pas égoïste.
Aussi, le fait d'avoir consacré 11 mois de mon existence habilement mal foutue et compliquée à la fois pour arriver à ne le lire que pour soi ne me plait pas vraiment.
Donc, nous en arrivons à... ? La publication !!! Bien, y a qui suivent.
Et, Internet ainsi que tous ces concombres sociaux d'écrivains qui vont animer mollement des ateliers d'écriture pour leur faible pitance ainsi que pour redorer leur blason (histoire vécue dont je parlerais à un autre moment) nous l'ont bien faire comprendre : Se faire éditer, puis publier; c'est loin d'être comme un parcours de santé.
Ou, si je dois peindre une métaphore particulière glauque, ça revient souvent à aller se promener dans ce même parcours jusqu'à rencontrer un arbre suffisamment grand pour que l'idée d'aller s'y pendre ne paraisse pas ridicule aux yeux des écureuils.
Mais, nonobstant les obstacles, je me lancerais dans ce tortueux périple.
Et, à cet odyssée, j'en serai le conteur, mes amis.

Maintenant que les présentations d'usage ont été prononcées, et une des raisons d'être de ce blog dévoilées, je peux maintenant aller me coucher en paix et vous retrouver plus tard car là, sincèrement, je tombe de fatigue.

A tourte, mes p'tits loups.

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