Eh oui !
L'histoire totalement effrayante d'un homme qui a affronté un stylo quand il était petit. Malheureusement, bien qu'il ait survécu à notre grand désespoir, il a également décidé d'écrire.
Que ce soit pour traiter de philosophie, de jolies femmes, de récits farfelus, ou simplement pour dire des conneries, sa plume (bien qu'il ne soit pas un oiseau) sera mis à rude contribution.
Tout ceci dans un ballet explosif et subversif de lettres, de mots, et de phrases mélangés pour donner un cocktail psychédélique mais néanmoins épique.

dimanche 6 février 2011

I wreslted a pen once...

Bien, il s'avère qu'il se fait tard alors je tenterais d'être bref.

Déjà, commençons par les présentations.
Je m'appelle Ewen Dubourg (nous parlerons de mon nom et de mon prénom plus tard, si vous le voulez), et j'ai écris un livre.
Eh ouais, tout à fait ! J'ai écrit un livre, un pavé, un bouquin, un roman, un bon gros paquet de lettres, de mots, et de phrases collées ensemble pour former des paragraphes.
Pour tout vous dire, ça a été une expérience intéressante, assez proche du sentiment/désir amoureux (avec tout ce que cela implique au niveau des joies et des souffrances, bien sur), et je serais prêt à le recommencer dés maintenant.
Seulement, malgré le fait que j'ai volé trois belles parts de pizza à mon frère ce midi, je ne suis pas égoïste.
Aussi, le fait d'avoir consacré 11 mois de mon existence habilement mal foutue et compliquée à la fois pour arriver à ne le lire que pour soi ne me plait pas vraiment.
Donc, nous en arrivons à... ? La publication !!! Bien, y a qui suivent.
Et, Internet ainsi que tous ces concombres sociaux d'écrivains qui vont animer mollement des ateliers d'écriture pour leur faible pitance ainsi que pour redorer leur blason (histoire vécue dont je parlerais à un autre moment) nous l'ont bien faire comprendre : Se faire éditer, puis publier; c'est loin d'être comme un parcours de santé.
Ou, si je dois peindre une métaphore particulière glauque, ça revient souvent à aller se promener dans ce même parcours jusqu'à rencontrer un arbre suffisamment grand pour que l'idée d'aller s'y pendre ne paraisse pas ridicule aux yeux des écureuils.
Mais, nonobstant les obstacles, je me lancerais dans ce tortueux périple.
Et, à cet odyssée, j'en serai le conteur, mes amis.

Maintenant que les présentations d'usage ont été prononcées, et une des raisons d'être de ce blog dévoilées, je peux maintenant aller me coucher en paix et vous retrouver plus tard car là, sincèrement, je tombe de fatigue.

A tourte, mes p'tits loups.

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