Eh oui !
L'histoire totalement effrayante d'un homme qui a affronté un stylo quand il était petit. Malheureusement, bien qu'il ait survécu à notre grand désespoir, il a également décidé d'écrire.
Que ce soit pour traiter de philosophie, de jolies femmes, de récits farfelus, ou simplement pour dire des conneries, sa plume (bien qu'il ne soit pas un oiseau) sera mis à rude contribution.
Tout ceci dans un ballet explosif et subversif de lettres, de mots, et de phrases mélangés pour donner un cocktail psychédélique mais néanmoins épique.

mercredi 7 septembre 2011

J'avais l'intention de vous crier mon amour mais j'ai la voix cassée...

Aujourd'hui, promis, je me calme...

Je n'ai pas été très tendre avec vous lors de mon dernier article, et cela n'a pas vraiment joué en ma faveur.
Pour preuve, ce matin, un connard me balance une grenade à fragmentation dans ma loge, une vilaine grenade qui va éclater l'écran de ma télé en plus, pour qu'au final il n'y ait aucune déflagration !

Si même les grenades ne veulent plus m’exploser la tronche à coups de très nombreuses et très rapides petites griffures métalliques, c'est que j'ai peur d'avoir dérangé l'Univers avec mon dernier sujet.
Aussi, pour remédier à tout ça, je vais tacher d'être aimable, doux, attentionné, et très gentil avec vous.
Autrement dit, je vais être un coussin !

Bien qu'en ce moment, être aimable et doux ne m'intéresse pas vraiment car je suis plus préoccupé par ma longue et horriblement dure (j'ai dit que j'allais être calme, promis !) quête pour retrouver des coffrets des différentes saisons de Xena La Guerrière (si vous ne connaissez vraiment pas cette série assez vieille mais très sympa, je vous en parlerais plus longuement une fois que j'aurais mis la main dessus, d'accord ?) en DVD à un prix raisonnable.

Ce qui est loin d'être une sinécure quand on voit que le prix moyen d'une saison à Auc**n ou ailleurs (faudrait pas que j'aille faire de la pub' pour les grandes marques, en plus) tourne autour des 30 euros et que, en plus, il faut vraiment avoir sacrément de moule pour ne trouver qu'un seul coffret là-bas !
Pour moi qui n'aime pas les fruits de mer, c'est râpé avec du parmesan tout ça !
D'autant plus que, quand je vois que j'ai pu me choper la saison 1 d'Ally McBeal (oui, mon côté féminin ressort souvent à l'approche de l'automne) à moins de 6 euros en occasion alors qu'en grandes surfaces, il est à 20 euros, je me demande pourquoi on nous prends pour des cons !
Merde quoi ! Pour une série qui a plus de 13 ans, ils pourraient se calmer, non ?!


Pardonnez-moi, mes p'tits loups.
J'avais juré de me calmer mais en me lançant dans ce sujet, c'était mal parti !
Bref, pour en finir avec ce sujet-là, j'avais l'intention de regarder Ally McBeal pour vous faire part de mes impressions, mais ce sera pour une autre fois...
Entre les inscriptions (en forte teneur en stresse inutile) pour une université à laquelle je ne compte même pas m'inscrire réellement, et mon audition future pour une grande école d'art dramatique, j'avoue n'être même pas arrivé aux 15% de la sérénité requise pour ce genre de loisirs.
Une prochaine fois, je vous le promets ! (Ça me fait beaucoup de choses à traiter pour plus tard, au fond, j'ai l'impression...)

Pour l'heure, j'ai envie de vous faire part d'un de ces films qui m'aura marqué dernièrement.
Évidemment, j'aurais pu choisir de vous parler d'un film relativement grand public, que chacun d'entre vous aura aimé à la fin d'un quelconque visionnage (à moins de ne pas être cinéphile du tout !), mais où serait le plaisir de la découverte alors ?

Aussi, je choisis de vous présenter un film que j'ai découvert il y déjà bien longtemps, un soir que je flânais sur la chaine Arte.
Il était marqué dans le magazine TV que ce film était assez explicite dans certaines de ses scènes, aussi il était normal que celui-ci fut présenté à mes yeux à une heure tardive du soir !
Oui, alors, vous l'aurez compris !
Je ne suis qu'un grand blond dégueulasse qui était intéressé par un bon vieux film (de 2006) qui passait tard le soir sur Arte, et qui présentait des scènes de fesses !
Ça, je ne le nie pas....et ne le nierait jamais.

Mais la description offerte par le magazine TV m'intriguait : "Un film sans hypocrisie sur la sexualité, l'amour, et les sentiments".
OMGWTFBBQ ?!!
Mais n'est-ce donc pas des moules et des frittes que je vais voir, ce soir ?
Oui et Non !
Car, entre nous -il n'y a plus beaucoup de distance, je trouve. Vous me permettez de vous tutoyer/caresser le genou ?- Shortbus est loin d'être un banal film de cul !


Approfondissement :
Shortbus est un film sorti en 2006, réalisé par l'américain John Cameron Mitchell (qui ne me dit fichtrement rien sinon qu'il aurait réalisé un certain "Rabbit Hole" avec Nicole Kidman).
Pour la petite info, le terme "Shortbus" désigne en anglais les bus scolaires que prennent d'ordinaire les enfants surdoués, autistes, handicapés, ou simplement trop "différents" pour aller à l'école.
Alors, oui, c'est expliqué dans le film à un moment donc mon anecdote ne servait à rien mais voilà !
Mais ici, le "Shortbus" est donc un club underground de New-York qui sert à la fois de lieu de rencontre moderne à la limite de la contre-culture mais aussi, et surtout, un lieu où toutes les sexualités s'expriment.
Autrement dit, un endroit où on vient discuter de la vie au milieu d'une déco pop particulièrement déjantée, avant d'aller s'amuser un peu dans la salle à orgie !
Idée plaisante, n'est-ce pas ?
Pour le libertaire que je suis, c'est forcément un lieu de pèlerinage...hé, hé, hé, hé....

Eh bien, c'est dans ce lieu fort étonnant que plusieurs personnes aux personnalités diverses vont se croiser.
En premier lieu, il y a Sofia, une sexologue qui n'a jamais connu l'orgasme, après plusieurs années de mariage. Puis, il y a Severin, une jeune dominatrice rongée par la solitude, qui va l'aider dans sa quête. Et enfin, il y a James et Jamie, un couple d'homosexuels, qui va tenter de s'ouvrir au triolisme pour sauver leur relation qui bat de l'aile malgré le fait qu'ils s'aiment passionnément.
Plusieurs portraits de personnages, donc, qui vont se défaire petit à petit de leurs souffrances et de leurs névroses grâce à l'énergie communicative offerte au sein du Shortbus, mais aussi grâce à l'amour des autres.
Dans Shortbus, on sent avant tout des émotions.
Des émotions positives, négatives. Cachées, exprimées. Des émotions qui naviguent sans cesse dans la ville de New York qui trouve ici l'une de ses plus belles apologies, par ailleurs. La ville qui ne dort jamais (mais qui fait tout de même de petits sommes de temps à autre) est littéralement rythmée par les joies et les coups de blues de ses habitants.
Tout ceci dans une ambiance de fanfare, de jeux orgiaques, de rires, de larmes, d'éjaculation, de musique, et de sensibilité. Comme si Kusturica venait de rencontrer Araki...
Avec humour et dérision, Mitchell nous montre que le sexe peut être chaotique, existentiel, innocent, dur, mais aussi salvateur.
Au final, les scènes olé-olé finissent par nous révéler ce qu'elles sont pour les personnages : Une quête.
Une quête des sentiments, une quête pour un orgasme, pour le bonheur, ou pour une vie normale tout simplement.
Mais c'est quoi une vie normale à New-York ?
C'est quoi une vie normale quand on veut aimer et être aimé ?
Quant on veut faire partie du monde ?

Bref, un film qui illustrerait très bien la fameuse et très belle chanson "What The World Needs Now Is Love" !

En voilà une critique dithyrambique, ma foi ! Autant de gentilesse pour un sujet d'article de mon propre blog, ça fait quelque chose...

Mais voilà, Shortbus est une œuvre cinématographique originale et magnifique sur bien des points (même si perso, je trouve la fin un peu too much mais enfin...), peut-être pas aussi barré que Kaboom de Gregg Araki mais un beau morceau de cinéma !
Et une belle ode à l'humanité, à l'amour, et au sexe !

Attention toutefois, le film, sans être vulgaire ou pornographique à sa manière, n'en demeure pas moins assez cru et peut faire détourner les yeux aux plus sensibles.
Bah ouais...
Je sais que vous allez jouer les fiers, mais croyez-moi, les premières minutes du film vous mettront directement dans l'ambiance alors vous voilà prévenus !

Mais je sais que vous allez être sages, attendre d'avoir 16 ans ou plus, obtenir ce film de manière légale, le regarder en pensant à moi (nan, ça, faut pas ! Concentrez-vous sur le film, bon sang !), et revenir sur cet article y déposer un commentaire où vous me faites part de vos impressions après m'avoir remercié de tout votre cœur pour la découverte apportée par ma plume superbe !
Quoique....entre nous....j'ai des doutes là-dessus.

Ce qui ne m’empêche pas de vous aimer comme un fou. Comme un cheval !

Le reste à l’ordinaire prochain, mes p'tits loups !

vendredi 2 septembre 2011

Parce que mon blog, il sert aussi à ça...

Eh oui, comme il s'avère qu'il y en a qui arrivent à trouver l'Amour à travers leur blog, eh bien j'en fais de même !
Parce qu'il le faut !!

Alors, voilà : Je recherche une jeune femme, de 20 à 35 ans, tatouée, gros seins, ayant un diplôme certifié en boulangerie, cheveux noi....ah merde !
Je suis en train de me faire l'image de la boulangère sexy que j'ai plaqué !
Argh, qu'elle me manque, cette belle et douce projection sexuée de mon inconscient fébrile !

Bon, reprenons, vous le voulez bien ?
Donc, je recherche un homme d'âge mûr, de 35 à 67 ans, tatoué, très beaucoup barbu, belle verve, poignées d'amour appréciées, cheveux gris....
Ah bah, suis-je bête ! Là, je suis en train de décrire Monsieur B. (mon mentor, guide spirituel, et maître de la langue-baveuse-que-t'as-dans-ta-bouche) !

Braif, avouons-le !
Mon esprit se trouve être la scène d'une bataille monstrueuse entre divers sujets qui se bousculent pour accéder au titre de "Sujet du prochain article du grand blond qui a lutté contre un stylo".
Déjà que je ne suis actuellement pas très serein avec tout ce qui se défile au niveau de mes inscription prochaines alors, si je dois me battre intérieurement pour choisir de quoi parler dans mon blog, on est mal barrés !
Ainsi, histoire de vous rassurer, mes p'tits loups, je vous assures déjà que la suite des aventures de Jérémie Tyger arrivent doucement mais sûrement.
Non parce bon, y a plus simple que d'écrire une histoire sans avoir une once de scénario potable pour la suite tout de même, vous en conviendrez...

Mais pour l'heure, je viens vous parler de quelque chose de plus grave encore que l'immensément probable absurdité terrifiante des prochaines pérégrinations du meilleur homme au monde : Une question de société !


Une question de société ?
Yves Calvi est ravi !

Après le succès retentissant...attendez...
....
.....
......
*Retentissement*
Voilà, vous avez entendu ça ?
L'article sur la question "Pourquoi les actrices porno portent-elles des chaussures durant leurs scènes ?" eut un tel succès auprès des masses (des masses de quoi ? Je ne sais pas...) que son retentissement ne se fait savoir que maintenant !
Absolutely Fabulous ! (Sympathique série, au demeuré...excusez-moi, au demeurant !)
Mais alors, quelle excellente question de société excellente excite tant de manière excellente l'excellent "panda des débats" ?

Eh bien, entre nous....une question me brûle les lèvres.
Ah tiens, tant que je vous tiens par les sentiments (ça fait plus mal que les couilles, et pas sûr que tout le monde en ait ici alors bon...), je voudrais que vous arrêtiez d'essayer de me piquer des bouts de mes lèvres (celles du haut, hein ! J'ai une frite, moi, namého !) avec vos dents pour les ramener chez vous afin de les montrer à familles, amis, et amants, touts surexcités que vous êtes !!
Déjà, de une, ça me brûle les lèvres, comme cité là-dessus !
Et puis, ensuite, sans lèvres, c'est très dur pour moi d'embrasser la boulan...euh...la boule de Monsieur B. (c'est comme au bowling, il y a une boule qu'on préfère à l'autre chez lui) !
Alors, je vous prierais de vous calmer, quand vous vous rendez dans ma cabine, après chaque sortie d'article, merci !
NB : Si la personne (homme, femme, chien, enfant...je me souviens plus, à vrai dire) qui m'a piqué mon foutre pouvait me le rendre, ce serait pas de trop...quoique...hein ! Quand ce n'est plus mon foutre, ça devient le votre ! Une fois qu'il ne m'appartient plus, j'en ai plus vraiment rien à foutre de ce foutre là !


Boah ça va !
Si on peut même plus divaguer sur ce blog...

Donc oui !
La question qui me brûle les lèvres, et va embaumer les vôtres est : "Comment acheter un magazine porno ?"


(A force, on va finir par croire que j'adore les chats quand même...ça devient dangereux tout ça !)

Oui car soyons réalistes quelques instants !
Comment pensez-vous réellement faire si vous êtes à court d'Internet et que vous avez une soudaine envie de porno ?
Vous vous êtes déjà préparés auparavant en ayant effectué une mission de reconnaissance dans le placard de vos parents, mais vous trouvez ça dommage qu'ils n'aient pas décidés d'en acheter plus dans le but altruiste de vous les refiler quand ils en auront fini avec ?
Vous n'avez aucun sex-friend pour vous aider dans votre calvaire car vous pensiez malheureusement que c'est trop pervers quoi, d'avoir un(e) pote juste avec qui on peut baiser, alors que franchement, entre nous, l'idée est pas mal en plus, hein ? Je veux dire, quand ça ne vas pas trop loin.....Hum !
Donc, vous n'avez personne à vos côtés pour faire passer cette envie sortie du fond de vos entrailles pour vous émoustiller l'existence ?
Et à côté, savez vraiment comment faire face à une crise de pornoïte aiguë et comment réagir face à ses symptômes ?
L'abstinence ? La lecture ? Le travail ? La prière ?
Pffff....Illusions, Mr. Anderson ! Hallucinations ! (Couché, Smith !)
La seule manière de s'en dépêtre est d'aller chercher l'objet de votre désir succinct, éphémère, et purement charnel, sans aucune possibilité d'épanouissement personnel (mais honnêtement, qu'est-ce qu'on s'en fiche quand on regarder du porno !!) : le magazine porno !

En théorie, comment fait-on ?
En plusieurs étapes, voici la technique usuellement usitée par les usuels usés, hu, hu !
  1. Récupérer de l'argent sur le cadavre d'un milliardaire mort dans sa salle de bain d'un "accident" domestique (de ceux qui aboient que quand on ne les caresses pas, m'voyez)
  2. Marcher d'un air débonnaire et hautain jusqu'au marchand de journaux/maison de presse/bureau de tabac le plus loin possible de chez vous, ou de votre zone de fréquentation (pour pas y retrouver des connaissances de tous les jours, m'voyez)
  3. Une fois entré à l'intérieur, vous diriger vers la section "presse informatique" et lever doucement mais avec conviction votre regard vers le haut. Ils sont là.
  4. Faîtes votre choix. Gays, Lesbiennes, Fétichistes, Amateurs de boulangères, Zoophilie, Hentaï, etc...Vous y trouverez votre compte, à condition que votre marchand de presse soit assez ouvert pour proposer une assez large gamme.
  5. Vous dirigez vers ce salaud de marchand de presse coincé du cul (ou, dans le cas contraire, vers ce sympathique et ouvert marchand), le sourire aux lèvres, l'air joyeux, et la détermination dans les yeux.
  6. Poser votre commande comme si vous vouliez "simplement" l'acheter. Car n'oubliez pas que ce que vous faîtes n'est rien d'autre qu'un échange commercial, il n'y a rien de personnel ou de particulièrement marquant d'un point de vue existentiel à acheter un magazine (porno ou non), m'voyez ?
  7. Payez votre dû avec "votre" (hum...) argent et remerciez le marchand de journaux qui fait bien son boulot, m'voyez. (NB : Si c'est une jolie dame derrière le comptoir, ne cachez donc pas votre achat à des yeux. Vous avez une sexualité débridée, libre, et sereine (même si ce n'est qu'avec votre main mais chut....) alors pourquoi le lui cacher, à elle qui pourrait très bien vous faire part de son amour des bains turques !)
  8. Sortez du magasin, et repartez chez vous tout en faisant tout de même gaffe à bien cacher votre magazine (dés fois que vous croiseriez votre père/soeur/oncle/banquier/prof de littérature/boulangère préférée (ça fait trois fois, là ! Faudrait que j'arrête !)/patron, m'voyez.
  9. Lavez-vous les mains, et respirez profondément.
  10. Lisez !
Alors, oui...En théorie, cela parait simple ! Mais, en vrai, comment fait-on ?
Vous vous le demandez sûrement !
Eh bien...hum, attendez, il semblerait que mon temps soit bientôt écoulé alors....oui ? M'voyons...

Génial ! Merci, les gars !
Vous avez sauvé la conclusion de cet article !

Alors, en vrai, pour acheter un magazine porno, ce n'est pas si compliqué !
En réalité, il suffit de......
....
.....
......
.......
........
Il suffit de faire les mêmes choses qui étaient décrites dans la liste là-dessus, mais de l'assumer complétement dans votre esprit.
Ha, ha ! Oui, je sais ! Cette conclusion s'apparente plus à un incroyable foutage de gueule qu'autre chose mais que voulez-vous ?
Je n'avais aucunement pour intention de vous livrer une réponse claire et concise comme dans mon dernière pseudo-débat (vous savez ! L'article le plus lu de mon blog, là !) alors je ne vais pas changer d'un coup avec cet article !
Et puis, encore, je trouve que j'ai été bien gentil cette fois, tout de même !

Peut-être parce que vous le méritez au fond, mes p'tits loups !
Allez, promis ! La prochaine fois, je vous livre un truc plus beau et (presque) plus construit que ça !
Sur un film, un groupe de musique, un jeu ?
Je ne le sais point encore mais mon cerveau va décider pour moi. Ça, c'est sûr !
Et même que ça risque d'être violent, là-dedans !

Le reste à l'ordinaire prochain.

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